Avortement-drame fondamental
Qu’est-ce qu’un ETRE HUMAIN ?
La définition demande beaucoup d’honnêteté: comme l’Histoire l’a montré, l’idéologie et l’égoïsme ont souvent conduit à déshumaniser certaines catégories de populations, afin de pouvoir les supprimer sans problème de conscience.
Il ne s’agit pas que d’un choix philosophique mais d’une acceptation scientifique du réel naturel. Un nouvel individu humain vivant existe dès sa conception, et conservera la même identité biologique propre et unique, sans rupture (changement d’individualité ou d’espèce), à travers tout le processus continu de croissance et d’évolution jusqu’à sa mort: il ne s’agit pas d’une question de goût, d’opinion ou de métaphysique mais d’un fait bien et clairement établi par la science moderne. Prétendre que l’embryon humain n’appartient pas à l’espèce humaine n’est pas une attitude scientifique mais relève de la (fausse) croyance par autosuggestion. S’il était d’une autre espèce, alors il faudrait inventer cette dernière, et imaginer qu’un être vivant existant serait capable de changer d’espèce). En réalité tous savent au fond qu’il s’agit déjà de la même espèce humaine, et l’avortement est seulement ce qui permet de le tuer avant qu’il soit déjà trop grand ou au dehors du sein de la mère.
Avec les progrès de la biologie et de l’imagerie médicale, affirmer le contraire est équivalent à croire à la terre plate, au père Noël, aux licornes ou à l’astrologie; sauf que cette ignorance ou mauvaise foi sert à justifier des éliminations de masse.
Qui ne démontre pas scientifiquement que l’être humain pourrait commencer d’exister à un autre moment que la fécondation n’a aucune aptitude ou légitimité pour prendre la décision de supprimer cet être humain (c’est un fait objectif scientifique d’embryologie empiriquement démontré, et non une question d’opinion subjective, morale, philosophique, politique ou religieuse; il n’existe pas d’état préhumain: cf. Carnegie stages).
C’est un choix philosophique de définir le concept de « personne », mais la science définit de façon très objective ce qu’est l’individu d’une espèce. L’hypocrisie criminelle d’Etat consiste à refuser de définir ce qu’est l’embryon alors que la science le sait bien.
Dire « être humain » relève de la biologie, définissant les êtres humains de l’espèce homo sapiens. Dire « personne » relève de la morale (commune et universelle), dotée d’une valeur et de droits. A moins de vouloir consciemment (ou non) justifier la violence, cette morale ne peut faire abstraction de l’observation du réel.
Ce qui définit la personne n’est pas:
* sa taille (un homme de 2,20 m n’est pas davantage une personne qu’une femme d’1,50 m);
* son niveau de développement (en changement continu sans rupture, que ce soit par exemple le système nerveux ou le système cardiaque);
* sa capacité de conscience du moment (continuellement changeante);
* son environnement (dans le sein, au dehors en tous les endroits possibles);
* son niveau de dépendance (dépendant notamment de l’état de santé).
Poser une limite arbitraire au sein d’un de ces cinq critères, et l’imposer de façon discrétionnaire à un autre individu de l’espèce humaine pour décider sur lui d’un droit de mort, ne se déduit pas de la science (observation du réel) mais constitue un choix intéressé, « philosophique », idéologique, « moral » ou politique infligé à son existence même. A l’inverse, une société reconnaissant l’absence de distinction essentielle entre ces êtres humains, et les protégeant par conséquent juridiquement tous, n’impose pas un choix subjectif à certains d’entre eux mais reconnaît seulement l’ordre naturel des droits humains fondamentaux (cf. art. 3 de la Déclaration Universelle) et la nécessité pour l’harmonie collective du respect absolu et concret de tout individu.
Puisque la science n’observe pas de processus de rupture au sein de ces cinq critères (mais seulement des phénomènes continus au sein d’êtres vivants uniques), qu’est-ce alors qui différencie scientifiquement un avortement d’un homicide? Qu’est ce qui le différencie moralement d’un assassinat?
Imposer un tel tri, par ses conséquences essentielles, n’est-il pas la plus grave discrimination et le plus grave abus de pouvoir qui soit, l’imposition la plus égoïste, absolutiste et irréversible d’une volonté ou idéologie sur un autre être humain?
Dans l’Histoire, chaque fois qu’un groupe de personnes s’est permis d’arbitrairement décider qu’un autre groupe d’êtres humains n’est pas formé de personnes, cette ségrégation a conduit à des massacres, en général de masse.
L’avortement est le problème social et moral prééminent (cf. Compendium DS 553) en raison de l’impuissance de ses victimes, de l’ampleur du phénomène (plus de 50 millions par an), de la généralisation de sa justification culturelle, et de la sévérité de la menace contre la vie humaine.
L’autorisation de l’avortement dans les années 60 et 70 vient de connaissances scientifiques encore insuffisantes sur l’ADN et le développement embryonnaire. Plus la science avance, plus on comprend comment l’embryon et le fœtus sont humains et perçoivent aussi très progressivement et précocement la douleur (et non « après 24 semaines »: on sait maintenant que la douleur physique ne vient pas du cortex mais de régions sous-corticales précoces, au moins dès la 12ème semaine: https://jme.bmj.com/content/46/1/3; https://journals.sagepub.com/doi/full/10.1177/00243639211059245; https://www.nationalreview.com/magazine/2021/11/29/the-suffering-of-the-unborn/). Le consensus médical est ainsi d’anesthésier les bébés pour les chirurgies intra-utérines (comment peut-on alors brûler ou arracher vifs les membres d’autres bébés?)
23,7% des femmes avortent aux Etats-Unis, contre 10,2% des femmes médecins: ces dernières savent mieux de quoi il s’agit (et ont moins de difficultés financières qui les pousseraient à le commettre).
Une relation peut-être erronée, mais aucune vie n’est une erreur: elle est un don divin à accueillir. Les géniteurs qui se prendraient pour Dieu prennent en réalité la place du démon prince de la mort.
Dans le reste du règne animal, des mères tuent-elles leurs petits?
La résistance à l’avortement est une question de raison et de droit de l’homme, pas une question privée ou [d’abord] religieuse. Le droit qui est le principe, condition et origine de tous les autres droits, est par simple logique, le droit fondamental à la vie de tout être humain.
– L’ADN montre que l’embryon n’appartient pas à une espèce de singe mais à l’espèce humaine à un stade précoce.
La possibilité, lors des premiers jours après la fécondation, de division de la cellule initiale pour former des vrais jumeaux (clonage du zygote en deux zygotes d’ADN identique) ne démontre en rien une non-humanité de cette première cellule (d’autres facteurs que le code ADN contribuent à l’ontogenèse de l’humain: épigénétique…).
La nature humaine ne dépend pas de sa dimension perceptible.
Pr Israël Nisand, pourtant fervent militant pro-IVG: « Dès la première cellule, c’est un être humain, ce n’est pas un castor ».
– Le degré d’autonomie (« viabilité ») et de conscience d’une personne ne peuvent suffire à définir ce qu’est une personne humaine:
une personne devenue tétraplégique ne pourrait pas survivre sans l’aide d’autrui mais elle n’est pas moins humaine que moi; Michael Schumacher avec ses lésions cérébrales n’a pas perdu sa nature humaine pour se changer en une autre espèce. L’autonomie est un ainsi un critère totalement arbitraire, c’est-à-dire au fond irrationnel, car en fait hypocritement motivé par des intérêts ou des idéologies.
Vivre en un lieu ne m’identifie pas à ce lieu qui me contient:
* une voiture ne fait pas partie d’un garage car elle y est garée.
* un gâteau ne fait pas partie du four car il est cuit dedans.
Être à l’intérieur de quelque chose n’est pas la même chose que faire partie de quelque chose. Commencer à prendre de l’air dans les poumons (ce qui se produit à la naissance) ne change en rien la biologie, l’essence et le potentiel d’un être, scientifiquement identique avant et après (la caractérisation d’un organisme ne peut pas dépendre de l’état fonctionnel immédiat d’un des organes qui le composent parmi bien d’autres).
La nidation (implantation) ou non du zygote fécondé n’est ainsi en rien un critère scientifique d’humanité.
Vu que les pulsations cardiaques sont le critère de vie d’un moribond, qu’on les prenne au moins aussi en compte pour ne pas attenter à un fœtus dont le cœur bat après 3 semaines.
Nous avons tous été des embryons. Si la dignité d’une personne se réduit à sa taille ou à son état de développement, les personnes qui ne correspondraient pas aux modèles en vogue auraient des raisons de s’inquiéter. Celles qui ont échappé au « tri sélectif » devraient-elles s’excuser d’exister?
La tentation pour l’homme de s’ériger en maître de la vie de ses semblables, conduit le monde vers la fin de la civilisation et les pires barbaries.
– Le projet parental est aussi insuffisant: dès lors que j’existe, je ne suis pas ce qu’autrui veut ou non sur moi (sinon l’intention des uns suffirait à donner droit de vie ou de mort sur autrui: c’est ce qui s’est produit dans les dictatures génocidaires).
L’intention bonne ou mauvaise (viol…) d’une personne ne définit pas un tiers. Les conditions de ta conception ne définissent pas à quelle espèce tu appartiens. On tombe dans l’idolâtrie tyrannique de la volonté individuelle: qu’un être humain distinct soit un enfant dépendrait juste de mon bon-vouloir à moi, je m’arroge sur lui le droit de vie et de mort…
– L’aptitude des parents à éduquer est de même insuffisante à définir l’identité humaine de leur progéniture. Elle ne pourrait de toute façon pas être absolument prédite ni faire abstraction d’aide extérieure (adoption, tuteurs, éducateurs…)
En Occident, le rejet du personnalisme de la Trinité chrétienne (pour l’existentialisme sartrien athée qui fait de l’être une variable disponible) et le manque de charité permettent la négation de la personne de ceux qui me dérangent. Vision matérialiste de l’homme perçu comme une somme de particules/cellules.
Quand on ne voit plus une personne face à face, on se permet de la supprimer…
Cette domination de la volonté individuelle sur la vie, de la subjectivité sur l’objectivité est le signe de la postmodernité.
Toute femme enceinte honnête reconnaît que sa grossesse n’est pas que l’état biologique d’une mère mais une relation entre deux êtres.
Le sein de leur propre mère est devenu le lieu le plus dangereux pour les petits humains. Ne fais pas de ton corps fait pour donner la vie une chambre d’exécution. Sinon, désormais tout est permis. N’importe qui se pense autorisé à définir quelle catégorie d’êtres humains mérite la vie. Un principe d’auto-détermination est apparu, comme un tyran monstrueux sans limite, même la vie d’un autre. Lorsqu’on se permet d’éliminer la vie des êtres humains les plus innocents, toute autre violence sociale ou physique contre tous les autres êtres humains devient légitime. L’avortement et les lois le permettant provoquent une malédiction nationale immanente: Mt 26,52 « Tous ceux qui prennent le glaive [pour tuer un être humain] périront par le glaive. »
Toute loi libéralisant l’avortement n’est rien d’autre qu’un crime contre l’humanité (ce que l’Histoire finit toujours par établir), formellement déguisé juridiquement, et minant de plus dramatiquement le socle sur lequel reposent toutes les sociétés non totalitaires, à savoir le consensus pour le respect inconditionnel de la vie et de la dignité essentielle de tout être humain.
Des fours crématoires, parfois de cimetières animaux, les incinèrent pour produire de l’électricité.
L’ « OMS », qui consacre 11% de son budget à financer l’avortement, estime à plus de 65 millions le nombre d’avortements volontaires annuels dans le monde. Soit:
– la première cause de mortalité mondiale
– 40 % du chiffre de la mortalité humaine naturelle;
– 3 avortements toutes les 2 secondes;
– 1 milliards d’individus depuis 1950.
BONNE NOUVELLE
Dieu est miséricordieux! (C’est le centre « géographique » de l’Ancien Testament juif -Ps 78,38- et le cœur du Nouveau Testament.)
https://jesus1.fr/misericorde/
Il pardonne aux cœurs repentants, et est capable de tirer un bien supérieur de quelque erreur passée que ce soit si l’être humain a l’humilité de le reconnaître et prend la décision de changer de vie.
Si un enfant est mort sans baptême (dans une fausse-couche, un avortement ou autre…), il est important de:
– faire célébrer une messe par un prêtre à l’intention de cet enfant (son entrée au Ciel),
et, si un avortement volontaire a été commis, après une confession, une messe en réparation (par le Christ),
pour se réconcilier avec cet enfant lui-même en lui demandant pardon, et pour que les auteurs de cet avortement obtiennent eux-mêmes dans leur repentir, le pardon de Dieu en son sang (cf. He 9,22b; Ap 1,5).
– lui appliquer le baptême de désir (de manière simple et personnelle durant la messe),
– en lui donnant son prénom:
Après la communion eucharistique, prendre un temps de cœur à coeur dans la prière. Donner à l’enfant le prénom choisi:
En ce jour, je fais un baptême de désir pour mon enfant. Je le baptise ____________(dire son prénom) au nom du Père, du Fils et du Saint-Esprit.
– consacrer l’enfant à la Sainte Trinité par Marie (à la fin de la Messe – si possible à haute voix):
En ce jour de grâce, en communion avec toute l’Eglise, je confie et consacre solennellement mon enfant à Dieu, Père, Fils et Saint-Esprit par le Cœur Immaculé de Marie notre mère à tous. Aujourd’hui (date): _________ je confie ___________ (dire son prénom) tout(e) entier(e) et pour toujours à la Trinité Sainte.
Que Marie le (la) conduise à Jésus qui le (la) conduira au Père dans le Saint-Esprit. ____________(dire son prénom) nous nous retrouverons plus tard ensemble dans la Lumière Eternelle et la joie du Ciel. Sois béni(e)! Amen!
REALITE DE L’AVORTEMENT
- Déchiquetage par arrachage, ou empoisonnement et fausse couche induite: barbarie aseptisée en laboratoire ou aux toilettes.
Jusqu’à 15% des enfants avortés survivent à l’opération, on les laisse alors agoniser seuls et au froid parfois pendant des heures.
- Suppression de masse de 73 millions d’êtres humains par an: plus de 2 par seconde: www.worldometers.info/abortions/
De plus, ces chiffres n’incluent
* ni les avortements produits par la pilule du lendemain lorsque la fécondation a déjà eu lieu,
* ni les millions d’embryons détruits comme excédentaires dans la fécondation in vitro (plus nombreux que les avortements dans les pays développés).
- Divinisation de l’autonomie individuelle (absolutisée): absence de devoir et de responsabilité envers l’être conçu et la société
« Je veux », donc « j’ai le droit »…
On a fait de la « liberté sexuelle » une telle idole qu’on est disposé à lui sacrifier des enfants. Cette prétendue liberté est de même nature que la demi-moquerie des nazis sur le portail d’Auschwitz pour envoyer à la mort: « Arbeit macht frei ».
Cette idéologie adolescente nous positionne, nous et nos besoins, nos désirs et nos impulsions, au centre de l’univers et chosifie tout ce qui nous entoure, c’est-à-dire le reste de monde.
La technicisation matérialiste culturelle a abouti à l’ignorance de qui est l’être humain, et remplacé la question de ce qu’on doit faire par ce qu’on peut faire. L’individualisme radical cherche par dessus tout sa gratification et exige au-dessus de tout ses droits, au lieu de la gratitude pour la vie qui se reçoit. Quel orgueil terrible d’estimer que notre personne valle tellement plus qu’un enfant non né, que je m’autorise à le déchiqueter ou empoisonner?
La conséquence de cette dogmatisation est que le simple fait de s’exprimer autrement est devenu un blasphème « culturellement » intolérable, systématiquement passible d’anathème politico-médiatique latae sententiae irrémissible.
- Œuvre du « père du mensonge » (le diable): inversion satanique du bien et du mal par néologismes déshumanisants, fausses euphémisations ou acronymisations (« ivg »…) de l’innommable. Le « verbicide » (tuer le langage) précède l’homicide.
L’acte est tellement contre-nature qu’il n’est acceptable qu’avec un nom dénaturé. Pire hypocrisie d’Etat, sacrifiant la rationalité: soit il ne s’agit pas du meurtre d’un enfant à naître, mais alors toutes les restrictions à l’avortement dans la totalité des États du monde n’auraient aucun sens logique, soit c’est un meurtre, et alors il devrait être interdit dans le monde entier.
– « Mon corps m’appartient » fait de tout corps un bien matériel marchandable. En réalité nous n’avons pas un corps mais sommes un corps, et nous sommes tous interdépendants les uns les autres.
– « Mon corps, mon choix« , alors que l’ADN du fœtus est propre et unique; aucun être humain n’a 2 cœurs, 2 têtes, 4 jambes…
L’avortement contrôle le corps et la vie de petits humains, en les tuant diverses formes de procédés. L’ensemble des lois d’une société ne consiste qu’en la régulation et parfois l’imposition de choix aux individus qui la composent (équilibre des libertés, respect de l’altérité…)
Très souvent non choix mais pression financière, éducationnelle, familiale, peur, honte, confusion, isolement… L’avortement a surtout « libéré » les hommes; dans 42% des avortements, le géniteur a fait pression sur la mère (https://lifewayresearch.com/wp-content/uploads/2022/01/Care-Net-2021-Report.pdf; 64 % selon d’autres études: https://web.archive.org/web/20210323214735/https://www.theunchoice.com/News/RueStudy.htm; https://lozierinstitute.org/effects-of-pressure-to-abort-on-womens-emotional-responses-and-mental-health/).
Ainsi 60% des femmes auraient voulu éviter leur avortement, et 24% affirment qu’il a été forcé.
La crise du Coronavirus en 2020, où beaucoup de pays ont considéré l’avortement comme essentiel et prioritaire contrairement à des chirurgies du cancer ou des greffes de hanches de personnes paralysées, montre que le « libre choix » est en réalité une contrainte (impératif catégorique) pour éviter d’assumer les conséquences de ses actes; alors qu’il ne met en péril la vie de personne, la « culture de mort » (le « ministre » Véran affirme qu’il est « inquiétant » que le nombre d’avortements baisse) le considère comme plus urgent et essentiel (jusque-là il n’était qu’un « choix ») que les soins vitaux et prioritaires des malades en péril. Ce mantra contextuel est une vaste hypocrisie ne servant qu’à dissimuler l’intention de supprimer des vies d’enfants non nés.
Si ce slogan « Mon corps mon choix » était dans la vérité, alors la réponse de la société serait « ton corps, ton problème« , et les personnes pratiquant l’avortement ne réclameraient pas le remboursement de la procédure, ni des pensions alimentaires si le bébé naît: ceci indique bien que la vie d’un individu n’appartient à aucun autre –fut-ce ses géniteurs–, mais que la société entière en répond. (De même le faux slogan « Ôte ton rosaire de mes ovaires » impliquerait alors « Ôte tes ovaires de mon portefeuille« ).
Une variante hypocrite est « Occupez-vous de vos affaires » (sous-entendu: l’élimination d’un foetus humain ne vous regarde pas): soit, permettez toute violence dans cette société si c’est en privé. Le mensonge est présent ici aussi, car supprimer une vie humaine n’est pas non plus l’affaire de ses parents, mais un acte de barbarie antisocial, qui appelle la réaction du reste de l’humanité (comme l’enseigne l’histoire entière).
– La « planification familiale » (planned parenthood) a pour fonction principale l’élimination familiale (la preuve en est le suicide démographique des pays riches): la prévalence des actes d’avortement montre qu’elle est principalement anti-parenthood/parenté.
– Un « droit fondamental » existerait à tuer la vie: il s’agit d’une construction juridique fictive (bricolage et rafistolage), et plutôt un fondamentalisme et un « crime fondamental ». La source d’un droit fondamental n’est ni le désir individuel (ce serait la porte ouverte à l’anarchie, et il suffirait de déclarer que les autres personnes qui pourraient avoir des droits concurrents ne sont plus de personnes), ni l’Etat (autrement on serait soumis à tous les oukases politiques du moment, ce que l’on voit dans les dictatures), mais l’égalité universelle de dignité de tout être vivant à ADN humain, ce qui implique une responsabilité éthique de chacun envers chacun. Le vrai « droit fondamental » (de la nature, de l’histoire humaine, de la déclaration universelle des droits de l’homme et de la constitution de nombreux Etats) est donc celui à la vie. La vie est notre premier droit, sans lequel tous les autres ne sont rien! L’avortement viole le principe d’universalité, un des fondements de la philosophie moderne (et de la gauche).
Un droit fondamental découle de l’humanité et s’attache à elle, il est « inaliénable et sacré » pour chaque personne, opposable à tous. Créer un droit à partir de l’unique « je » est un déni de vie sociale. La grossesse ne confère pas un droit de vie ou de mort mais une responsabilité envers autrui. Anne Hidalgo parle de l’IVG comme « un pilier sur lequel repose notre édifice démocratique… »
Au nom de l’égalité constitutionnelle homme-femme, les mêmes droits doivent être accordés au père et à la mère de l’enfant à naître, donc si on prétend accorder un droit à la mère d’avorter, on accorde implicitement au père le droit de forcer sa femme à avorter contre sa volonté. Cela se voit lorsqu’une femme est contrainte à avorter par son conjoint, avec des menaces telles que l’abandon, la violence physique et psychologique.
– L’embryon ou le fœtus humain ne serait que « tissu de conception » (« pregnancy tissues« ), “fragments de grossesse”, « produits de conception », « amas de tissus » (« clump« , « blob« ; s’il en était ainsi, les pro-choix n’auraient pas besoin de s’opposer à ce que les mères voient une échographie d’un « amas de cellules » (comme si elles ne formaient pas un organisme unique, cohérent et se développant), « parasite » (comme s’il était un virus, exogène et nuisible), « semblable à un insecte à retirer d’une oreille », « contenu utérin », « protoplasme dépendant », « déchet médical » (et détruit ensuite comme tel), alors qu’il s’agit des membres de corps humains déchirés comme des déchets par un aspirateur… On parle d' »âge de la grossesse » alors que l’âge est celui d’une personne. L’avortement serait encore plus anodin qu’une « ablation d’amygdales » (Sénateur Warren, 2019) ou l’extraction d’une dent… Le simple dictionnaire dit pourtant qu’un fœtus est une « progéniture à naître » (preborn offspring). Eichmann parlait ainsi de simple « matériel humain » pour pouvoir organiser la shoah en niant l’humanité de ses millions de victimes. Le Parlement européen a approuvé en septembre 2023 une proposition de règlement assimilant les embryons humains aux cellules et aux tissus (ce qui est une malhonnêteté intellectuelle car l’embryon n’est pas une partie -remplaçable- mais la totalité d’un organisme propre), les définissant comme des « substances d’origine humaine« : portes ouvertes à l’eugénisme, aux usages industriels et à toute autre manipulation d’êtres humains.
Qui tue accidentellement ou volontairement un foetus (même de 9 mois, s’il n’a pas respiré, par exemple par accident de la route ou par coup volontaire) n’est pas sanctionné, contrairement à la personne tuant un chat ou une chèvre.
– Le fœtus ne serait « pas un enfant« : une femme enceinte, quel que soit son stade de grossesse, ne dis jamais « J’attends un fœtus », mais « On attend un enfant! » Dans toute espèce animale sexuée, la science affirme que l’être féminin mature ne peut attendre qu’un être de la même espèce (une mammifère n’est enceinte que d’un petit de la même espèce et non d’autre chose, en phase d’évolution progressive, tout comme au cours de toute son existence jusqu’à la mort; s’imaginer que ce qu’en pense un parent ou autrui peut changer le réel serait se prendre pour une divinité: une pensée magique motivée en réalité par d’autres finalités individualistes ou idéologiques). Les inscriptions sur paquets de cigarettes ou bouteilles d’alcool disent bien « Femme enceinte, fumer ou boire nuit à la santé de votre enfant. »
Un « enfant en devenir » n’est pas membre d’une autre espèce animale mais déjà un enfant en croissance, comme l’être humain est en évolution tout au long de sa vie.
– Le fœtus ne serait « qu’un être humain potentiel« ; il s’agit plutôt d’un vrai être humain (non un membre d’une autre espèce sous-humaine ou chimpanzé) avec potentiel. De la conception au cimetière, nous sommes tous en devenir.
– Le battement cardiaque devient « pulsation embryonnaire » (NYT 05 2019: « embryonic pulsing« ), niant la science (cf. http://www.ox.ac.uk/news/2016-10-11-first-our-three-billion-heartbeats-sooner-we-thought; https://lozierinstitute.org/15-facts-at-15-weeks/: dès 22 jours, activation des poumons à 10 semaines, des reins, du système digestif…).
– « Soins de santé reproductive » en réalité pas de soin (« healthcare« ) car pas de pathologie, pas de santé car la grossesse n’est pas une maladie, pas reproductif (« reproductive justice/rights« ) mais antireproductif et contraire à la justice car éliminant en proportions très supérieures les petits de parents de couleur et défavorisés, et ceux qui ne correspondent pas aux attentes des adultes (avortement sélectif des filles ou de petits porteurs de handicaps, eugénisme; mépris jusqu’à l’homicide de l’autre être gênant).
Les « soins prénataux » désignent des actes dont le résultat est l’élimination de celui qui naturellement devrait naître. Le « soin de santé » ne peut pas non plus consister à blesser voire parfois tuer des mères.
Certains justifient l’avortement « médical » (=curatif) en inventant les termes de « santé financière » et « santé sociale » de la mère.
« Avortement thérapeutique« : contradiction totale dans les termes. Euthanasie.
La pilule abortive (qui est un pesticide antihumain) tue aussi des mères:
augmentation du risque de cancer du sein, de naissance successive avant terme (https://www.ncbi.nlm.nih.gov/books/NBK11362/pdf/Bookshelf_NBK11362.pdf), de troubles psychiques;
augmentation de 500% du risque d’aller aux urgences, cf. ici (p.47 et 59),
https://www.fda.gov/downloads/Drugs/DrugSafety/PostmarketDrugSafetyInformationforPatientsandProviders/UCM603000.pdf, par choc septique, avec jusqu’à 10% de risque d’avoir à aller aux urgences (cf. https://pubmed.ncbi.nlm.nih.gov/33939340 et https://pubmed.ncbi.nlm.nih.gov/36592459,
mortalité maternelle 10 fois supérieure à celle de l’avortement chirurgical; malgré les sous-estimations de la FDA,
et peut être extrêmement douloureuse et traumatisante (www.lifenews.com/2022/09/02/women-describe-horrific-at-home-abortions-with-abortion-pills-ive-never-felt-pain-like-it d’après dailymail).
Une étude finlandaise a révélé qu’un cinquième des femmes ayant pris de la mifépristone ont connu des complications (et 50% de visites aux urgences en plus par rapport à un avortement chirurgical). Une étude suédoise a montré que les femmes qui prenaient le médicament à domicile avaient un risque de complications beaucoup plus élevé que celles qui le prenaient à l’hôpital. Les raisons sont multiples. La mifépristone n’est « recommandée » que jusqu’à la dixième semaine après l’absence de règles, mais les femmes dont le cycle est irrégulier (par exemple comme effet secondaire des injections à ARNm) ou qui ne suivent pas bien leur cycle peuvent souvent manquer cette fenêtre et prendre le médicament plus tard que prévu; la molécule peut aussi être dangereuse pour les grossesses extra-utérines. Même dans les délais indiqués, cette pilule n’expulse pas une simple petite hémorragie mais un foetus parfaitement formé, avec les douleurs aigues de la mère.
L’avortement (élimination directe et intentionnelle) n’est jamais médicalement nécessaire (y compris dans le cas de grossesse ectoplasmique par exemple: ôter le bébé de là où il ne peut grandir ou parce qu’il met la vie de la mère en danger, et le séparer du corps de sa mère avec sédation, provoque une mort qui n’est pas la finalité première mais une conséquence seconde involontaire et inévitable (médicalement, il ne s’agit pas d’un avortement volontaire); appliquer un traitement à une mère en danger, qui pourrait aussi provoquer involontairement la mort de son bébé, n’est pas non plus un avortement.)
– Domaine du « ministère de la santé« : non un problème de maladie ou de santé mais de cœur, et d’âme.
Le fœtus n’est pas une tumeur mais l’un de nous. Pas d’abord un coût potentiel mais une bénédiction.
« Médicament » pour avortement chimique: du grec mederi: soigner! Hypocrisie!
L’avortement ne guérit rien et ne contribue en rien à la santé des femmes mais statistiquement met en danger aussi les mères qui y ont recours (en plus d’éliminer des êtres propres de l’espèce humaine).
– Une femme n’allant pas au terme de sa grossesse ne serait [de toute façon] « pas une mère » (Juge Ginsburg, insultant ainsi toutes les mères victimes de fausses couches).
– Les grossesses menées à terme contre l’intention des géniteurs seraient « forcées« , alors qu’en dehors des cas de viol, la grossesse a existé par consentement à l’acte sexuel (un échec de la contraception ou un changement d’avis sont un risque relevant d’intentions humaines subjectives contingentes, et qui ne changent pas la réalité du processus biologique, noyau de l’événement).
Les viols ne constituent que 0,3 % des raisons d’avortement (et les IMG: 1,5%).
– L’enfant non désiré et mené à terme serait une « punition » (Obama, 03 2008) ou « un emprisonnement, une cruauté« , ce qui témoigne d’une absence criante d’empathie envers l’enfant, victime factuelle payant de sa vie, et d’une criante inversion de la réalité (définition élémentaire de la folie).
– « Empowerment » (mal traduit par ‘autonomisation’), ignorant que la « puissance » correspond au péché d’orgueil (Mt 4,8: domination des royaumes) et à toutes les rivalités et violences. Devoir un succès professionnel à l’élimination d’une vie humaine (voire le revendiquer publiquement, comme le font certaines « stars » en le qualifiant de « besoin pour accomplir ses rêves« ) relève d’un égocentrisme machiavélique extrémiste et d’une très barbare inversion de valeur, en opposition à la civilisation. La plus grande violence contre les femmes est l’avortement (bien plus de la moitié des victimes sont de sexe féminin; les mères y sont souvent induites contre leur gré par autrui ou par les circonstances et ont ensuite à supporter la plus grande partie de la charge psychologique de cette opération au plus intime de leur être). Aucun argent, honneur, carrière ne pourra rendre à des parents la vie d’un enfant unique conçu et éliminé.
La probabilité de pouvoir avoir un enfant diminue après chaque avortement (naturel ou induit).
– « Compassion« , en tuant autrui? « Désintéressement », pour soi-même toucher des primes et ne pas avoir à assumer de conséquences financières? « Acte d’amour », par l’élimination? « Acte chrétien », de l’église de Caïn et du démembrement sans anesthésie des individus encombrants, parce qu’il y aurait un doute sur l’espèce à laquelle ils appartiennent?
Les mouvements Pro-vie sont Pro-tous: ils s’occupent non seulement des enfants à adopter mais aussi des parents en détresse.
– « Pro-choix » en forçant souvent les mères à avorter par pression du père ou de l’entourage, en forçant des enfants viables à ne pas naître, en forçant ceux qui ont une objection de conscience à financer l’avortement, à coopérer (gynécologue, pharmacien, sage-femme, sous peine de licenciement ou fermeture, avec le soutien de la CEDH contre des personnes qui avait choisi leurs métiers pour servir la vie de tous) directement ou en obligeant à indiquer où l’avortement se fait. Plutôt Pro-mort. Obliger à donner l’adresse d’un autre médecin pratiquant l’avortement (ou l’euthanasie) est comme contraindre à aider à trouver un autre tueur à gage: cela oblige à être complice et à violer sa conscience.
– « Pro-femme » alors que l’avortement sélectif antifemme malgré les « contrôles » fait des centaines de millions de victimes (Inde, Chine, et pas seulement…), et les troubles psychiques post-avortements des mères ne sont jamais publiquement reconnus et pris en compte.
La suppression du délai de réflexion indique qu’il vaudrait mieux que les femmes ne réfléchissent pas, parce que les idéologues et politiques l’ont une fois pour toutes fait à leur place… Alors que la loi impose un délai pour une vente immobilière, un crédit à la consommation ou un acte de chirurgie esthétique. On prétend ainsi dédramatiser et réduire la résonnance psychologique, mais le drame qui est la cause demeure.
La suppression de la « condition de détresse » montre aussi la radicalisation du plan visant à transformer les femmes en consommatrices matérialistes ayant pour priorité son confort ou sa convenance. Et s’il n’est plus une « détresse« , alors pourquoi y a-t-il besoin de continuer à le rembourser? Les lois et pratiques montrent dans les faits que la priorité est trop souvent donnée à l’idéologie et à la réalisation de l’avortement, qu’à la santé des mères.
L’Irlande avant la légalisation de l’avortement avait le record du plus faible taux de mortalité infantile.
Au Royaume-Uni, 0,006 % des « IVG » ont eu pour but de « sauver la vie de la mère ».
L’idéologie du gender répandue dans les groupes pro-avortements finit par nier l’identité biologique féminine et donc l’existence-même de la femme et ne même plus la nommer (lui préférant « personne avec utérus »).
Un féminisme qui aurait besoin de s’appuyer sur un bain de sang d’enfants non nés ne peut que délégitimer son propre fondement.
– « Pro-égalité« : en réalité seule les désirs de la femme sont légalement pris en compte: ni les désirs du père, ni les droits et besoins de l’enfant conçu. La violence contre des êtres innocents ne peut pas rendre plus égal.
– « Abortion justice » (jargon de propagande du « planning familial »): élimination de masse d’enfants non nés innocents et sans défense
– « Il vaudrait mieux ne pas vivre » que vivre dans une famille pauvre ou avec un handicap. La science dit au contraire que les personnes porteuses de handicap accueillies sont plus heureuses que la moyenne des humains: le problème est d’abord notre égoïsme qui les considère comme un fardeau qui ferait mieux de ne pas exister, et notre peur de ce qu’ils montrent de nous-mêmes.
L’avortement ne préserve pas la vie des parents mais leur style de vie. Ajouter un mal n’annule pas le mal (viol, maladie) mais le multiplie. Un enfant ne mérite jamais la mort pour le crime de son père.
Et on ne résout pas la pauvreté par la suppression mais par le développement économique.
« On ne peut pas être plus pauvre que mort » (Flannery O’Connor).
Les pays occidentaux se gavent d’aides sociales (pour partir en vacances, pratiquer la PMA…) et entretiennent toutes sortes de gabegie, mais prétendent qu’éduquer un enfant n’est parfois matériellement pas possible.
– Une conception serait « un accident« , alors que c’est un don.
– L’IVG, « interruption » volontaire de grossesse est en réalité la suppression ou élimination contrainte d’une vie, car elle ne reprend pas et est imposée à une victime. De plus, elle n’est « volontaire » que pour une seule des parties concernées, dans une confusion juridique avec droit et liberté, typique de la tyrannie du désir individualiste machiavélique moderne.
La série « Another life » de Netflix en 2019 emploie l’euphémisme « restauration de cycle (« You are pregnant. It’s still very early days, and there are simple, non-invasive ways to restore your periods, if that’s what you want. »)
Certains parlent hypocritement de « conscious pregnancy release » (libération consciente de grossesse), alors qu’il ne s’agit pas de se débarrasser d’un simple et banal processus purement interne, mais de l’élimination violente d’un autre être totalement asservi aux projets d’un ego.
– Les « déchets médicaux » détruits après le processus (non médical mais abortif) comme excrétions ou résidus pathogènes sont en réalité des êtres humains éliminés, et dignes d’une digne sépulture.
– « Délit d’entrave à l’IVG »: interdiction stalinienne de l’expression divergentes, alors que l’ « information » du gouvernement officiel ou du « Planning » est en réalité une quasi-constante incitation.
– « Œuf à douze semaines », alors que les mammifères humains ne sont pas ovipares…
– Les anti-« choix » seraient « rétrogrades« … Mythe idolâtrique du « progrès« ; bien avant le Christ, les spartiates jetaient d’une falaise les nouveau-nés mal formés… Ne pas les tuer était progressiste, à l’époque.
– « Réduction embryonnaire »: élimination d’êtres vivants de l’espèce humaine
– L’avortement serait pratiqué ou permis par certains « Chrétiens« , ce qui le rendrait légitime pour tous les autres. Alors qu’il est plus cohérent et pertinent ne pas mélanger la dignité de toute vie humaine, avec les hérésies et schismes historiques, qui se terminent quasi toujours par un éloignement de plus en plus grand de la Foi des Evangiles (et de l’Eglise une) et par l’apostasie: il est absolument contradictoire de se prétendre encore chrétien extérieurement tout en prenant carrément la place de Dieu pour définir ou décider qui peut vivre ou non.
- Haine gnostique de la chair, perçue comme sans aucune signification et terminant en utilisation de l’autre et élimination de l’enfant.
Disponibilité totale du corps, le mien, et quand je peux, celui de l’autre… La sexualité serait finalement sans grande valeur et portée car ses conséquences peuvent être comptées pour rien. Le corps ne serait plus qu’une chose, un moyen.
- Dictature de la technique et de l’idéologie (ie violence) sur les parents et leurs enfants, en violation du serment d’Hippocrate (460-377 BC: « Je ne remettrai à aucune femme un poison abortif »).
SAV garanti de la contraception… (IGAS: 72% des avortements résultent d’un échec de la pilule contraceptive; dans 96% des cas, le motif de l’avortement est la contraception: on ne veut pas avoir à assumer son enfant déjà conçu).
L’idéologie de la société laïciste implique une pensée unique qui considère la défense de la vie humaine (pourtant le reçu historique et universel) à tous les stades de son existence seulement comme une injonction moralisatrice. Elle n’accepte plus rien au-dessus d’elle, que sa subjectivité du moment, décidant désormais tyranniquement de ceux qui doivent vivre et qui peuvent être tués.
- Manipulation de l’opinion en gonflant considérablement le nombre des avortements clandestins et utilisant les exceptions du viol (0,3 % des cas d’avortement) pour justifier » 100% des avortements.
Quelle aberration de prétendre éviter 0,3 % d’injustices (cas de viol) en pratiquant 99,7 % d’injustices (meurtre d’un enfant innocent); la meilleure réparation du viol est la condamnation sérieuse du violeur et l’adoption sous X de l’enfant conçu. Steve Jobs par exemple fut adopté, et on sait le succès de la vie qui suivit.
- Minimisation des conséquences physiques et psychologiques chez les parents.
L’avortement chimique ne fait pas sortir du sang mais de la chair.
Hémorragies internes, douleurs intenses
www.genethique.org/fr/etude-sur-livg-medicamenteuse-je-nai-jamais-eu-aussi-mal-de-ma-vie-une-douleur-sans-nom-66533.html#.WE-RGfkrLx7
Corrélation avec le cancer du sein
Risques de stérilité:
http://www.lifenews.com/2015/08/18/new-study-just-one-abortion-causes-problems-for-women-in-future-pregnancies/
http://www.lifenews.com/2013/10/08/surprise-cnn-tells-women-to-mention-a-past-abortion-to-their-doctor/
http://edition.cnn.com/2010/HEALTH/10/07/secrets.from.gynecologist/index.html
Septicémie et amputations (www.lexpress.fr/actualite/societe/chu-de-bordeaux-une-femme-amputee-des-quatre-membres-apres-une-ivg_1615152.html)
Dommages biologiques et psychiques
Perforations accidentelles d’utérus, caillots sanguins, fausse-couches ultérieures…
Dégradation de la santé mentale, de 3,5 à 19,5 fois:
https://www.dovepress.com/articles.php?article_id=84488
Dépressions dans un tiers des cas, Syndromes de Stress Post-Traumatique, et parfois jusqu’au suicide
[Durant la vie fœtale, il existe un échange de cellules entre la mère et le fœtus (microchimérisme fœto-maternel): des cellules fœtales pluripotentes passent dans le sang et différents tissus maternels (os, cerveau, peau…) et peuvent y persister durant toute la vie de la mère: la connexion physique et donc aussi psychique perdure ainsi (même si la grossesse s’arrête par un avortement naturel ou intentionnel); le bénéfice naturel de ces interactions est de favoriser l’interdépendance psycho-affective et donc les interactions pour la survie des deux êtres. Ces cellules fœtales peuvent jouer un rôle bénéfique en cas de blessure ou de maladie chez la mère, pouvant se diriger vers la zone affectée et se spécialiser dans la réparation des tissus endommagés: la mère construit le bébé, et le bébé contribue à réparer la mère (certaines maladies peuvent disparaître par la grossesse).]
http://silentnomoreawareness.org/testimonies/index.aspx?fbclid=IwAR2O8LEuCVZJdTBPpcd9r35QJCQDrCdjVbCFe_2ZbN9-gJqGP9yQ6aZM-aE
L’avortement laisse toujours au moins un mort et une blessée; en voyant d’autres enfants vivants, les mères font souvent le compte en imaginant avec peine quel âge aurait le leur.
La destruction au four crématoire du foetus ne laisse même pas aux parent, qui en auraient ensuite le besoin, l’opportunité d’opérer un travail normal de deuil.
Forte hausse de la mortalité chez les femmes ayant avorté (contre la fausse information d’un plus grand risque pour celles donnant naissance): https://www.ncbi.nlm.nih.gov/pmc/articles/PMC3560645, par exemple par AVC.
- Business de milliards de dollars (analogue de ce point de vue à la contraception).
Les organisations à but soi-disant non lucratifs pratiquant l’avortement ont quasiment toutes un programme d' »incentive » pour tous les échelons de leurs employés: en somme, la rémunération est proportionnelle au nombre d’avortements réalisés, et aucun « service » n’y est désintéressé…
Même les tests prénataux (promettant faussement 99% d’efficacité) font partie de ce mégabusiness pharmaceutique pas honnêtement philanthrope: leur fiabilité n’est que de 93% en moyenne (faux positifs), ce qui fait que de nombreux parents éliminent leur progéniture saine (et même à 1% de faux positifs, accepterait-on de prendre ce risque mortel pour un être aimé?)
- Eugénisme hypocrite, comme par les nazis (eux l’avouaient): discrimination mortelle.
Jean-Didier Vincent, neurobiologiste de renom France Inter 5 10 2012: « Mais pourquoi faut-il conserver les trisomiques, qui sont quand même un poison dans une famille? »
Dr Alexis Dussol (40émes journées des gynécologues obstétriciens 2016): « L’IVG a permis de stabiliser la trisomie 21 ».
Anne Sinclair journaliste 03 2016 au sujet de l’avortement en cas de trisomie, évoque « un eugénisme protecteur pour éviter des drames effroyables« . On pourrait ainsi tout repeindre en rose et parler d’un « violeur affectueux », « assassin taquin »…
La société Genoma en 2015 vend un test de dépistage « Tranquility » avec comme publicité les photos énormes de la fille trisomique vivante de Christine Hoos, et sans demander la permission…
Mendelsohn, Paganini, Lincoln ont eu le syndrome de Marfan, aujourd’hui éliminés après dépistage prénatal.
Etre imparfait ne signifie pas être inférieur.
L’Islande proclame l’abolition de la trisomie 21 (non par thérapie mais avortement) alors qu’il ne s’agit pas d’une maladie transmissible. En France, 96% des cas de trisomie 21 détectés sont avortés.
Les Etats dépensent des milliards en élimination, quasi rien en recherche de traitement des handicaps.
- Viol ou usurpation de souveraineté et néocolonialisme « culturel », quand les organismes non-élus ONU ou UE prétendent imposer aux Etats leur politique post-marxiste pro-mort.
- Usurpation étatique de l’autorité parentale, en dispensant les adolescentes de l’accord parental pour avorter alors que pour une petite sortie scolaire ou n’importe quel soin médical mineur, il leur est impossible de participer sans signature.
- Holocauste à satan
En plus de la réalité scientifique et sociale, en soi complètement suffisante pour discerner ici, les croyants savent que l’avortement est aussi un sacrifice holocauste au démon, comme autrefois sous la figure de l’idole Moloch/Baal Hamon de Carthage, pour obtenir la prospérité: les ossements d’enfants sacrifiés ont été retrouvés. En Amérique latine idem, pour les récoltes, le pouvoir, et les victoires guerrières (les trois tentations vaincues par le Christ). L’avortement est devenu la vache sacrée et le sacrement du culte postmoderne de l’autonomie et du plaisir à tout prix, avec ses variantes de peur et d’égoïsme. Les attaques fréquentes par des pro-avortements contre des lieux de cultes et tabernacles chrétiens, les revendications explicitement satanistes des plus radicaux d’entre eux (eg https://www.kath.net/news/78413; https://www.lifenews.com/2020/09/30/satanic-temple-sues-billboard-company-that-refused-signs-for-abortion-ritual-killing-babies; avortements religieux dans des cultes rituels sataniques), et le simple slogan mensonger « Mon corps » pour justifier un homicide en singerie de la parole consécratoire du Christ pour sauver toute vie, signent l’origine spirituelle de ce grand combat.
La mystique bolivienne Gloria Constanza Polo voit un démon libéré depuis l’enfer vers la terre à chaque avortement. La bonne nouvelle est que chaque acte de charité gratuite ou communion eucharistique en ré-emprisonne plusieurs…
Gn 4,10 « La voix du sang de ton frère crie de la terre à moi. »
Jr 7,30 « Ils ont mis leurs abominations dans la maison …31 et ils ont bâti les hauts lieux de Topheth, qui est dans la géhenne, pour brûler au feu leurs fils et leurs filles ».
Mt 25,40 « Dans la mesure où vous l’avez fait à l’un de ces plus petits de mes frères, c’est à moi que vous l’avez fait. »
Du point de vue judéo-chrétien, le Créateur est l’auteur de toute vie humaine lorsqu’il « insuffle une haleine de vie » (cf. Gn 2,7) c’est-à-dire son Esprit Saint, tout en demandant souverainement la coopération de deux parents. Christ est la Vie (Jn 14,6), et ceux qui ne protègent pas les victimes de masse de l’avortement auront donc à rendre compte de collaboration à une attaque grave contre Dieu lui-même. Le sein d’une maman est donc aussi sacré que le sanctuaire d’un tabernacle contenant sa réelle présence divine. Le pape François a fréquemment décrit comme des tueurs à gage ceux qui sont payés pour pratiquer l’avortement. Le prince de la mort se déchaîne avec ceux qui le suivent consciemment ou non, mais la certitude de l’Histoire Sainte est que le Christ est déjà vainqueur et fera justice (cf. Mt 25,31s).
Les enfants victimes d’avortement, par rejet implicite ou explicite du Christ qui est la Vie et de l’enseignement du Verbe de Dieu comme le fit Hérode, sont donc les nouveaux saints innocents, et pourraient être ainsi canonisés et priés comme intercesseurs.
- Flagrante incohérence homicide. L’Etat et l’idéologie écologiste veillent à protéger juridiquement les bébés poussins, phoques, tortues ou grenouilles, et promeut en général pour la santé le principe de prudence, ce qui est excellent, mais organise et promeut chaque année l’élimination gratuite d’une immense multitude d’enfants humains non nés (et à leurs mères, des traitements hormonaux massifs). Les campagnes d’Etat contre le Covid-19 ont aussi imposé aux foules, avec d’importantes contraintes, des thérapies géniques expérimentales, tandis que le mantra pro-avortement majoritaire (et scientifiquement mensonger) restait « mon corps, mon choix ».
Les adolescentes doivent demander la permission écrite (et juridiquement opposable) de leurs parents pour toute petite sortie scolaire, mais surtout pas pour aller se faire avorter…
REPONSES à d’autres objections:
– Il faudrait remettre la vie d’autrui à la « libre conscience » des uns, pour soi-disant leur éviter la « culpabilisation » (opinion séculière et cynique de « post-chrétiens »): si on n’a pas la Foi, on peut ne pas accepter l’idée de péché, mais le respect de la vie de tout être humain est le socle de la civilisation.
– « De toute façon, les gens iront avorter clandestinement, alors autant l’organiser, et que les femmes ne se blessent pas. »
Imaginons quelqu’un disant, « Personnellement, je suis opposé au trafic d’êtres humains, au vol et au meurtre, mais c’est mieux qu’il soit réglementé plutôt que de le voir se faire de façon illégale et sans sécurité; le gouvernement ne devrait pas s’immiscer dans les affaires personnelles des délinquants: on devrait les laisser être adultes et prendre leurs propres décisions. » L’objection est éthiquement et dialectiquement intenable: un enfant est tué, la priorité n’est donc pas d’éviter que l’auteur de l’avortement soit indemne (l’Etat devrait-il d’abord veiller à ce que les attaques à mains armées, cambriolages ou viols « inévitables » se déroulent dans les meilleures conditions pour leur auteurs, avant de chercher à empêcher que ces actes ne se produisent?)
– « Cela ne regarde que l’individu-femme qui a conçu. »
Avec 50 millions de vies supprimées par avortement chaque année, toute l’humanité est concernée: l’enjeu est bien social et mondial.
Avec d’autres facteurs en plus, l’Europe par exemple est passée de 125 à 10% de la population mondiale en 100 ans (début XXIè siècle)
Ces raisons sont en soi suffisantes; mais les croyants seuls se rendent compte en plus que le problème est spirituel (aveuglement par celui qui a de la haine homicide depuis le commencement -Jn 8,44-, libération d’esprits de mort, multiplication de la violence…)
– « Il n’y a que les Chrétiens qui s’y opposent, au nom de leur religion. »
Ce sont les pro-morts qui nient la réalité scientifique de la croissance fœtale et s’expriment au nom de l’émotion et d’une « foi » aveugle en la divinité séculière du « Moi« .
Hippocrate a vécu 4 siècles avant, et ce sont des arguments de science naturelles (encore plus au XXIè siècle) et sociales et non d’abord de Foi qui disqualifient l’avortement.
Sépultures de fœtus en Egypte antique ou en Alaska.
– La nature élimine spontanément des millions d’embryons par fausses couches chaque année, donc l’IVG ne consisterait qu’à en provoquer quelques autres; et certains ajoutent: « Dieu lui-même avorte ». En réalité, ces fausses couches sont la conséquence de pathologies dans la nature (selon la Foi, conséquences du péché du monde et jamais de Dieu), et l’IVG consiste à organiser volontairement un autre désordre numériquement 10 fois plus élevé (et sur des individus sains). Il serait hypocrite et criminel de dire: « des millions de personnes meurent du cancer ou autre maladie de la nature chaque année, donc c’est pas grave d’en tuer volontairement encore des centaines de millions d’autres. »
– C’est légal. Comme le droit à la vie (Déclaration universelle des droits de l’homme). Mais aussi autrefois l’esclavage et de nombreuses autres lois injustes sur lesquels les Etats sont déjà revenus… La légalité définie par un régime (une assemblée de délégués faillibles) ne contrôle pas la conscience et ne définit pas le bien et le mal plus profonds.
– « Tu es trop jeune, l’enfant risque de détruire tes projets, tu devrais d’abord finir tes études, tu pourrais d’abord voyager« . Il y a des millions d’exemples de femmes enceintes aidées ayant mené à bien leurs études. Des millions de mères ont aussi beaucoup voyagé, il s’agit d’adapter ce qui est secondaire dans une vie à l’important et non l’inverse.
– « Tu vas abîmer ta silhouette, ta vie va devenir ennuyeuse, c’est le moment du divertissement! »: Warning, ignorance médicale, égoïsme et narcissisme…
– « Tu as pensé à ce que les autres diront de toi avec un enfant? » On ne vit pas en fonction de ce que pensent les autres mais de ce qu’on veut en profondeur.
– « Si c’était mal de détruire la vie (pour son ADN), il ne faudrait pas faire de don d’organe, de sang, ni perdre de sperme (porteurs d’ADN) ». Un organe n’est qu’une partie d’un tout, et non un être de l’espèce humaine ayant son unicité et intégrité biologiques; l’ADN ou une cellule sanguine ou reproductive n’ont rien de comparable avec un être humain unique ayant un potentiel d’évolution, mais respectivement un code chimique et un simple produit d’un être vivant unique particulier. – « Les Pro-vie seraient des machistes oppresseurs, et seules les femmes devraient donner leur avis puisqu’elles peuvent être enceintes ». Ce dogme ou pseudo-règle est une rhétorique émotionnelle et idéologique post-marxiste de guerre des sexes. La majorité des mouvements pro-vie sont des femmes; dans une démocratie, tous contribuent par la citoyenneté et l’impôt à l’avenir collectif; tous les humains vivants sont le résultat d’une grossesse; les femmes qui sont stériles sont autant femmes que les autres; les pères sont aussi concernés puisqu’ils sont responsables à 50% de la fécondation.
– « Restreindre les possibilités d’avortement serait raciste » (parce que les classes sociales pauvres, où sont davantage représentées les personnes de couleur, auront moins de possibilités de contourner ces restrictions en voyageant. En réalité (comme l’indiquent explicitement les intentions écrites de Margaret Sanger pour ‘Planned Parenthood’), l’avortement élimine prioritairement la descendance des gens de couleurs (surreprésentée dans le marché de l’avortement).
CONSEQUENCES de l’avortement:
– Déresponsabilisation des pères et accentuation du mépris de la femme souvent réduite à un objet masturbatoire (« fuck-zone ») puisque l’avortement évite d’avoir à assumer les conséquences.
Cas limites lorsque la mère refuse d’avorter: « féminicides ».
Guerre des sexes, par concurrence entre celui des deux qui dominera l’autre.
Si c’est « Ton corps ton choix », alors « Ton problème, débrouille-toi. »
– Culture de mort, euthanasie « pour ne pas ériger la vie en valeur suprême » (procureur Molins 06 2019 franc maçon notoire)
Nihilisme culturel d’affirmer que « ne pas vivre » (le non-être) vaudrait mieux que « vivre » (l’être; sous prétexte que le succès en venant au monde serait faiblement probable).
Remboursement à 100% avec prime d’encouragement puisque mêmes examens en vue d’une grossesse menée à terme ou les soins d’un accouchement ou d’une fausse couche ne sont remboursés qu’à 70% (France).
Les soins dentaires ou les lunettes ne sont remboursés qu’à hauteur de 20%. La destruction d’œufs de certaines espèces d’animaux est punie de milliers d’Euros et de prison, et les animaux sont définis comme « être vivants doués de sensibilité« , davantage que les petits humains; tuer par accident l’enfant porté par une femme enceinte n’est plus sanctionné par rien, et il est permis de faire souffrir des avortons sans anesthésie, mais infliger une douleur à des animaux est sévèrement puni!
Aux Etats-Unis, certains hommes politiques accepteraient désormais ouvertement l’infanticide après la naissance si l’enfant n’est pas désiré.
CSA juillet 2014 demande aux télévisions de ne pas diffuser une publicité pour l’accueil d’enfants porteurs de handicaps mentaux, afin de ne pas culpabiliser « les femmes qui ont fait d’autres choix de vie »: symptôme de l’effondrement moral et intellectuel terminal des soi-disant élites.
– La natalité chute mais le politique post-68ard s’en moque. En France, 25 000 demandes d’adoption non satisfaites.
Le Figaro 21 mai 1947, p.3: Himmler révéla à son kiné/médecin finlandais Kersten que l’avortement serait légalisé et vivement encouragé et facilité dans tous les pays occupés par l’Allemagne et ce afin de réduire la population non germanique en Europe.
– Violence sociale généralisée
Mère Teresa de Calcutta: « Tout pays qui accepte l’avortement n’enseigne pas à son peuple à aimer, mais à faire usage de la violence pour obtenir ce qu’il veut. » “If we accept that a mother can kill even her own child, how can we tell people not to kill one another?”
« Si l’avortement n’est pas un mal, plus rien n’est un mal (If abortion is not wrong, then nothing is wrong.)
« Ce petit enfant, né et pas encore né, a été créé pour une grande chose: aimer et être aimé. »
10 12 1979, lorsqu’elle reçoit à Oslo le Prix Nobel de la Paix: « L’avortement est le premier des maux du monde« .
« Le plus grand destructeur de la paix aujourd’hui est le crime contre l’enfant à naître. Si une mère peut tuer son propre enfant, dans son propre sein, qu’est-ce qui nous empêche, à vous et à moi, de nous entretuer les uns les autres ». (Abortion leads to war.)
« On ne peut pas se battre de façon crédible contre d’autres mauvaises choses incluant la pauvreté et la violence, en même temps que l’on tolère le massacre par l’avortement. ».
– Expérimentations sur cobayes humains. Le négationnisme de l’humanité de l’embryon, qui circule sous pavillon de complaisance scientifique (pour soi-disant faire progresser la thérapie cellulaire, ce qui ne s’est jamais réalisé), a pour but d’obtenir l’accès libre et gratuit à des êtres humains au stade du 1er développement afin de les sacrifier en pratiquant des tests de toxicité et de criblage de molécule qu’on ne veut plus faire sur les animaux, âprement défendus par des ligues de protection de la nature.
– Abîme la paternité: légalement, l’avortement se fait sans aucun avis du père. Contribution à la destruction saymbolique et sociale.
– Ce qui jusqu’à présent constituait un délit devient un devoir encouragé par subvention.
Conditionnement: la grossesse non programmée devient amalgamée à une grossesse non désirée amalgamée et donc un enfant à supprimer quasi-automatiquement.
– Les jeunes dépendent de la couverture sociale des parents, donc il leur est impossible poursuivre une grossesse à l’insu de leurs parents, mais l’Eta maçon a fait en sorte qu’ils puissent éliminer la grossesse sans les consulter.
– Pour la pensée unique laïciste, promouvoir l’avortement, qui tue par centaines de milliers, c’est bien, mais montrer de quoi il s’agit exactement, c’est très, très mal: « endoctrinement et mythes », alors qu’il ne s’agit que de documents réels. On garde cela pour la prévention routière, les dangers du tabac et les horreurs de la shoah.
– Recyclage d’êtres humains (anticipé par « Le soleil vert« /Soylent green film de Richard Fleischer en 1973): crème antiride Neocutis: www.leparisien.fr/societe/un-antirides-a-base-de-foetus-humain-16-04-2010-888377.php
– PepsiCo a accordé en août 2010 à l’entreprise de biotechnologies Senomyxun un contrat de 30 millions de $ pour développer des “agents de saveur” (édulcorant et exhausteur de goût) destinés à ses boissons gazeuses ou plates, élaboré à partir de lignées issues de cellules fœtales de bébés avortés – des manipulations autorisées par le gouvernement dObama. Personne ne peut nous obliger à consommer du Pepsi et les autres produits de la firme:7Up, Mirinda, Liptonic, Lipton Ice Tea, Gatorade, Tropicana, Tropicana Smoothie,Alvalle, Lay’s, Benenuts, Doritos, Quaker Oats et Cruesli!
Le problème PLANNED « PARENTHOOD » / Planning « familial »
Dr Leana Wen 2019: « Planned Parenthood fired me (as ex-boss) because ‘I did not prioritize abortion enough’”. La mission centrale de cet organisme se révèle…
– PP campaign: « Protect our freedom to f**k »
Faye Wattleton, president of PP from 1987-1992: « Having abortions allows women to enjoy their sexuality »
Cecile Richards publie ds vanity fair 2016 une photo narcissique de son bureau: deux gds portraits d’elles-mêmes, slogan « d’ont fuck with us, don’t fuck without us », une croix new-age, un cierge où elle figure comme une Vierge Marie montrant son propre coeur…
– PP utilise les avortons comme une décharge d’automobiles, revendant les pièces détachées aux laboratoires Frankenstein.
– PP fixe ses objectifs en nombre d’avortements mensuels, Fait du corps de la femme un centre de profit.
La rémunération de ses dirigeants est autour d’1 million de dollars annuels
– La fondatrice du mouvement Margaret Sanger (morte en 1966), était notoirement machiavélique et raciste, et prônait officiellement un eugénisme par la contrainte:
« Le contrôle des naissances consiste ni plus ni moins en l’élimination des inadaptés« . « Ce sont (…) les mauvaises herbes de l’humanité », « des reproducteurs imprudents« , « ils pondent (…) des êtres humains qui n’auraient jamais dû venir au monde ».
« J’ai accepté l’invitation à entrer en contact avec la branche féminine du Ku Klux Klan »
Son projet était « to reduce the population density of the poor and the sick”, par « a stern and rigid policy of sterilization and segregation« . Elle prônait jusqu’à l’élimination physique de certains individus porteurs de gènes indésirables pour « améliorer l’être humain ».
« Je pense que le plus grand des péchés est de mettre des enfants au monde« .
– Son statut d’organisation à but non lucratif est une fiction fiscale pour pouvoir générer des milliards de dollars et accorder des rémunérations de millionnaires. Cette profitabilité a poussé à défendre des avorteurs impliqués dans de graves négligences et accidents médicaux et à ne pas dénoncer les auteurs de viols parfois répétés ayant engendré des grossesses non désirées, y compris chez des jeunes filles mineures.
– Le planning familial ment en prétendant défendre les « noirs » alors que le taux d’avortement chez toutes les personnes de couleur est très supérieur: davantage d’enfants de couleur sont donc éliminés.
– L’avortement a été légalisé soi-disant pour arrêter le danger des avortement clandestins. En réalité, PP veut autoriser ses centres y compris sans possibilité d’urgence hospitalière proche.
PARALLELES entre l’avortement et:
– la SHOAH:
* Déshumanisation des victimes
* Langue euphémisée
* Meurtre planifié
* Elimination normalisée du corps
* Sanction du gouvernement
* Manque de tollé public
Victimes: 6 millions par la shoah, 73 millions d’avortements annuels, 100 millions de victimes du communisme en 70 ans.
– Bombe A sur Hiroshima= nombre de morts annuels par avortement en France.
– Maladies graves: Pastor Walter B. Hoye II 2017: « Abortion kills three times more black lives as heart disease, cancer and stroke ».
Cancer: 10 millions par an
Tabac: 6,2 millions par an
Addiction la plus mortelle pour les peuples.
– Victimes d’armes à feu: 8 500 par an aux USA en 2014, pour 1 million d’avortements.
– Mortalité routière: 1,8 % de la mortalité due à l’avortement.
CITATIONS:
Didaché 2,2: Tu ne tueras pas l’embryon par l’avort et tu ne feras pas périr un nouveau-né.
Diognète, IIe siècle AD, demande à un anonyme qui sont ces chrétiens dont on parle, et de les décrire, l’anonyme répond entre autres choses: « Ces gens-là ne se débarrassent pas des bébés surnuméraires. »
Epître dite de Barnabé (vers 130) §19 (trad. Quéré, Pères apostoliques, Seuil 1980, p. 215 rev): Tu n’invoqueras pas en vain le nom du Seigneur; tu aimeras ton prochain plus que ta vie. Tu ne pratiqueras pas l’avortement, et tu ne feras pas mourir le nouveau-né…
Athénagoras d’Athènes, vers 175: Supplique 35: « Ceux qui pratiquent l’avortement commettent un meurtre et doivent être responsables devant Dieu. Soyons toujours et en toute chose en conformité avec nous-mêmes »:
Tertullien (II-IIIès, Apologétique, IX, 8): Il est déjà un homme celui qui le sera.
Augustin adresse aux époux dépravés, qui s’appliquent à empêcher la venue de l’enfant et qui, s’ils n’y réussissent pas, ne craignent pas de le faire mourir. « Leur cruauté libidineuse, ou leur volupté cruelle en arrive parfois jusqu’au point de procurer des poisons stérilisants, et si rien n’a réussi, de faire périr d’une certaine façon dans les entrailles de la mère l’enfant qui y a été conçu: on veut que l’enfant meure avant de vivre, qu’il soit tué avant de naître. A coup sûr, si les deux conjoints en sont là, ils ne méritent pas le nom d’époux; et si dés le début ils ont été tels ce n’est pas pour se marier qu’ils se sont réunis, mais bien plutôt pour se livrer à la fornication: s’ils ne sont pas tels tous deux, j’ose dire: ou celle-là est d’une certaine manière la prostituée de son mari, ou celui. ci est l’adultère de sa femme. » (De nupt. et Concup., I 1, ch XV.).
Gandhi All Men are Brothers, counsels a young husband presenting a thorny situation: his wife was impregnated by someone else while the husband was traveling, and now his family is urging abortion as the only way of saving face. While acknowledging that cases like these aren’t rare, Gandhi remains true to the principle of anti-violence. “The essence of goodness is: to preserve life, promote life, help life to achieve its highest destiny,” he tells the husband. “The essence of evil is: destroy life, harm life, and hamper the development of life… It seems to me as clear as daylight that abortion would be a crime.”
Gandhi also understood, and condemned, the practice of rich Westerners pressing contraception on poorer, darker India and poorer, darker, others, too. He rejected the popular idea—popular among some better-off white people, anyway—that humanity’s best interests mandate a diminution of non-whites. Not even a lengthy visit by the sainted Margaret Sanger could shake his conviction that life is good, and that thwarting it by violence or artificial means is wrong. “If love is pure it will transcend animal passion and will regulate itself. We have not had enough education of the passions,” he told her.
Hannah Arendt: Toute naissance est un « miracle qui sauve le monde« .
Mauriac, Le baiser au lépreux: Jean Péloueyre: La morale du monde est: « Que périssent les faibles et les ratés, et qu’on les aide encore à disparaître. »
GS 51: Avortement et infanticide sont des crimes abominables.
Dr. Bernard Nathanson, repenting co-founder of National Abortion Rights Action League (NARAL), former abortionist who performed 75,000 abortions: “As a scientist I know, not believe, know that human life begins at conception. Although I am not a formal religionist, I believe with all my heart that there is a divinity of existence which commands us to declare a final and irreversible halt to this infinitely sad and shameful crime against humanity.”
Pr Lejeune (découvreur du gène de la trisomie 21):
« L’avortement marque l’effondrement de la médecine. Et ce n’est pas une question d’âge du patient. La médecine pour l’avortement, c’est l’avortement de la médecine.
Le droit à la vie n’est pas donné par les gouvernements, pour continuer à exister la civilisation doit se conformer à la morale naturelle« .
Pour que la civilisation continue d’exister, la politique doit nécessairement se conformer à la morale, morale qui transcende toutes les idéologies parce qu’elle est inscrite en nous par le décret impénétrable qui régit à la fois les lois de l’univers et la nature de l’être humain.
La dignité d’une civilisation se mesure au respect qu’elle porte aux plus faibles de ses membres… Si on veut vraiment attaquer le Fils de l’homme, Jésus-Christ, il n’y a qu’un moyen, c’est d’attaquer les fils des hommes. Le christianisme est la seule religion qui dit: ˝votre modèle est un enfant˝, l’enfant de Bethléem. Quand on vous aura appris à mépriser l’enfant, il n’y aura plus de christianisme dans ce pays…
Le racisme chromosomique est aussi horrible que toutes les formes de racisme. »
JP II: « Un peuple qui tue ses enfants n’a pas d’avenir« .
Cal Sarah: « Choisis la vie afin que tu vives. » (Dt 30,19) 25 03 2017 conf. Amis du Professeur Lejeune, église Saint-Augustin-Paris: « Le « dragon infernal rouge-feu à sept têtes », prototype de cette culture de mort dénoncée par saint Jean-Paul II dans son enseignement, se tient devant la femme enceinte, prêt à dévorer l’enfant à sa naissance, et à « nous » dévorer également (cf. Ap 12,4). »
Moore, Persaud, Torchia, The developing Human: clinically oriented Embryology, 201510: “Human development begins at fertilisation when a sperm unites with an oocyte [ovum] to form a single cell zygote. This highly specialised, totipotent cell marks the beginning of each of us as a unique individual.”
Vs
Simone Veil, Times 3 03 1975: « En modifiant la loi, vous pouvez modifier fondamentalement le modèle du comportement humain. Cela me fascine. » Mais aussi: « Tout avortement est un drame ». « La loi ne crée aucun droit à l’avortement ». 26 11 1974: « L’avortement doit rester l’exception, l’ultime recours pour des situations sans issues ». « Aucune femme ne recourt de gaieté de cœur à l’avortement. Il suffit d’écouter les femmes. C’est toujours un drame et cela restera toujours un drame. » Article 1 de la loi: « l’embryon est un être humain dès sa conception ». La prise en charge de solutions alternatives et de soutien n’a jamais été appliquée.
US Episcopal Church’s first openly gay bishop 15 04 2005 at Planned Parenthood’s fifth annual « Prayer Breakfast« : « If women were in charge, abortion would be a sacrament (de satan?), an occasion of deep and serious and sacred meaning. » Certains organisent des bénédictions d’avortoirs… <![if !supportLineBreakNewLine]> <![endif]>
Michelle Wolf actrice 2019: « My abortion made me feel very powerful… like God!’” Répétiton du péché originel.
COMMENT AGIR SPIRITUELLEMENT CONTRE L’AVORTEMENT
- se former, en travaillant la science (continuité biologique de l’être humain depuis sa conception), la Parole de Dieu (Ph 2,16: « Parole de Vie »), la philosophie, le magistère de l’Eglise (théologie du corps, encycliques) et les enseignements des mouvements pour la vie
- prier le chapelet, pour les bébés, les mères, les pères, les politiques, le personnel médical. Marie écrase la tête du serpent (Gn 3,15 Vg) et le chapelet flagelle les démons 3. prier à proximité des lieux d’avortement, et offrir les services alternatifs
- participer à la messe aussi quotidiennement que possible; la prière la plus efficace, qui enchaîne aux enfers les esprits de morts et vivifie les âmes
- pratiquer l’adoration eucharistique, qui déploie les effets de la messe dans les consciences, en demandant des grâces de conversion pour tous
- fonder (par la Foi et la raison), pratiquer et promouvoir la beauté et la joie de la chasteté (pour une sexualité humaine du don et de l’accueil, ce qui évite les grossesses rejetées)
- prier une neuvaine à Notre-Dame de Guadalupe ou aux Saints enfants Innocents 8. louer le seigneur pour le don de la vie et pour sa Miséricorde qui attire
- jeûner, intercession puissante pour l’expulsion des esprits de mort (Mc 9,29 byz) et pour le repentir
Prière pour les enfants à naître:
« Puisse le Dieu tout-puissant, qui vient de créer une nouvelle vie bénir l’enfant dans ton sein« .
« Le Seigneur vous a apporté la joie de la maternité: puisse-t-Il vous bénir maintenant en vous donnant sécurité et santé durant votre grossesse. Remerciez aujourd’hui le Seigneur pour le don de votre enfant: qu’Il vous donne, vous et votre enfant, d’entrer un jour dans la joie sans fin du Ciel. » « Puisse Dieu bénir cette communauté paroissiale pour qu’elle accueille le don de cette vie nouvelle avec joie et accepte la responsabilité de participer à la formation spirituelle de cet enfant (ou de ces enfants). »
SITES PRO-VIE
www.meredemisericorde.org
www.monsecret.fr Témoignages
www.sosbebe.org
www.ecouteivg.com
www.avortement.net
www.ivg.net,
www.afterbaiz.com
www.testpositif.com
www.parlerdemonivg.com
Organismes donateurs du Planning familial (cf. http://fightpp.org/projects/cfp-boycott/):
BP, GoFundMe, Lionsgate Entertainment, Office Depot, Adobe, Bank of America, Chanel (cosmetics, fragrances, etc.), Danone, Deutsche Bank, eBay, Estēe Lauder, Expedia, LVMH, Marriott, Sheraton, la Croix Rouge, UNICEF, YMCA…
Pro-life group Heartbeats conducted a survey of post-abortive women. They asked the women what they experienced after their abortion(s):
- 92% experience an emotional deadening, either feeling less in touch with their emotions or feeling a “need to stifle their emotions.”
- 86% have an increased tendency toward anger or rage (48% reported they became more violent when angered).
- 86% fear others learning of the abortion, and have a greater sense of fear in general.
- 82% feel intense feelings of loneliness or isolation.
- 75% said they are less self-confident.
- 73% indicate some sexual dysfunction (increased pain during intercourse, promiscuity, rigidity, or loss of pleasure).
- 63% experience denial, the average period of denial that they reported was 5.25 years.
- 58% have insomnia or nightmares.
- 57% have difficulty in maintaining or developing relationships.
- 56% experience suicidal feelings.
- 53% increased or began using drugs and/or alcohol to deaden the pain.
- 39% reported eating disorders that began after the abortion.
- 28% attempted suicide.
(Wayne Mcghie The Right to Choose (2022) pp.40 – 4
Pape François: « Est-il juste de « supprimer » une vie humaine pour résoudre un problème? Il n’est pas possible, ce n’est pas juste, de tuer ainsi un être humain, même petit. C’est comme embaucher un tueur à gages pour résoudre un problème » (2018).
« L’avortement n’est pas un moindre mal. C’est un crime. C’est tuer quelqu’un pour en sauver un autre. C’est ce que fait la mafia » (2016).